Comme à l'habitude, sur l'autoroute entre les incessantes montées et descentes, Richard roule a 130 km a l'heure et se fait dépasser constamment surtout en montant avec notre Citroen 4 cyl manuel. Il doit rouler 130-140 km pour se donner un élan quand ca monte longtemps.Oh j'oublais ! Il faut payer sur les autoroutes, un retour dans le passé pour nous avec les postes de péages. Pour 290 km, ca coute 19 euros, près de 27 $ Can.
Rendez vous a la plus reputée des patisseries la Pasteria de Belem, pour y prendre un diner tardif et gouter aux tartelettes. C'est plein a craquer , incroyable, il vende jusqu'a 30,000 patisseries par jour.
On continue a marcher pour apercevoir le grandiose monastere Dos Jeronimos qui domine l'avenue.
On l,appelle le monastère de dentelles et on comprends pourquoi quand on n'y pénètre.
Ces frioritures qui decorent cette batisse, ressemblent a de la dentelle, tout a fait magnifique et unique !
On circule longuement pour admirer la beauté détaillée de l'architecture et comme c'est samedi, on y voit des mariés ! Ils posent pour leur photographe à travers les arches dentellées.
Je pense que je vais aller me confesser et prier à l'immense chapelle tout aussi grandiose que la Monastère . . .
Après un certain temps a prendre des photos sous les meilleurs angles, on croise un couple de québécois, les premiers depuis le début du voyage.
On jase un peu et on part marcher jusqu'à l'autre extrémité de la ville pour voir la Tour de Bélem près de l'eau.
Cette tour servait a protéger le port de Lisbonne.
La Tour n'est surement aussi impressionnante que la Tour de Pise mais elle offre une vue superbe des multiples paliers a l'extérieur de la tour.
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| Nostalgie qui s'installe . . . Lisbonne pour la dernière fois |
On revient sur nos pas en croisant l'immense monument commémorant le 500e anniversaire du Navigateur Henri pour se rendre a notre voiture et conduire jusqu'au Centre ville de Lisbonne.
Pour ce dernier souper, notre livre guide suggère un resto connu, le Café Luso où on peut écouter du Fado, chant d'amour plaintif , un peu comme la Complainte du phoque en Alaska en version portugaise . . .
On cherche donc ce Resto a travers le quartier Rossio. On a cherché longtemps dans les labyrinthes de ruelles ce fameux endroit pour finalement le trouver dans un coin perdu.
Sans Savoir, on est assis dans un resto très populaire et ca termine à merveille ce voyage.
Hummm . . . Nous deux, du Bon vin et de la Bonne bouffe . Viver o Amor ! ! !
